CINEMOA

En passant sous les rideaux rouges de son «Cinéma de Salon», JULIETTE se dévoile et nous dévoile plastiquement son univers créatif.

Les films de Lynch, Kubrick, Gillian, Noé et les autres, qui défilent en boucle dans son atelier-salon, lui procurent la matière première dans laquelle elle pioche avidemment les ingrédients qui entrent en résonance avec son monde intérieur.

Le filtre magique de sa peinture les métamorphose en un nouvel objet autonome : ses toiles.

JULIETTE nous entraine dans un monde «rock» empreint de surréalisme. Le clin d’œil à celui tranché de Bunuel en atteste ...

C’est avec ironie qu’elle installe sa cage des tortures autour de son fauteuil fétiche rouge. JULIETTE ose nous faire découvrir une partie de sa cuisine même si la pièce concernée est plutôt son salon.

JULIETTE habite pleinement l’espace du séma- phore en en faisant un éxutoire salvateur de ses propres peurs mais surtout en surprenant le spectateur, invité à y vivre à son tour, ses propres émotions.





* Le maître d’œuvre (MOA) est la personne (personne morale, privée ou publique) pour le compte de laquelle sont réalisés les travaux de construction. Il en est le commanditaire et celui qui en supporte le coût financier. (source Wikipédia)

 photos de l’expophotos_cinemoa.html